À Marseille, ça roule à gauche
Retour à Marseille en voiture. Le trajet se passe sans encombre, le trafic est fluide.
Arrivée à Marseille, je décide de pousser jusqu'aux Goudes pour voir le coucher de soleil. C’était sans compter sur l’amour inconditionnel que portent les Marseillais à leurs voitures et le festival Marsatac.
L’arrivée sur la Plage du Prado est catastrophique. Ça n’avance plus d’un pouce. Pourtant, il y a deux voies.
C’est au bout de quelque temps que je comprends le pourquoi de ces encombrements. Les voitures sur la file de droite sont toutes à l’arrêt car elles tentent toutes de se garer sur les parkings longeant la mer. Sauf que les parkings sont pleins. Les automobilistes ne désespèrent pourtant pas que quelqu’un s’en aille pour pouvoir accéder au Graal et remplir les poches de Vinci et Effia.
Cette ville ne cessera de m’étonner. Sous leur couvert de gueulards, les Marseillais sont tout de même sacrément patients.
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