Derniers préparatifs
À une semaine du top départ, c’est le branle-bas de combat. Marseille se met à l’heure olympique. Ça grouille d’activité. Les chapiteaux poussent comme des champignons, les affichages sont posés, les drapeaux des nations dansent avec le mistral.
Au milieu de toute cette agitation, on retrouve des agents de sécurité, chargés de veiller sur tout ce beau monde. Ils sont beaux, dans leur polo orange fluo siglé sécurité privée. Il y en a un tous les 20 mètres. La plupart du temps, ils sont assis, sous un parasol, à regarder les autres s’activer. Lorsqu’un véhicule se présente à leur porte, ils se lèvent doucement, jettent un œil sur l’accréditation et vont vite se rassoir.
Car n’oublions pas. Si Marseille a accepté l’affront ultime, c’est-à-dire l’inscription du mot Paris sur le Vélodrome, il ne faut pas déconner avec la maxime officieuse de la ville qui dit que Le repos, c’est la santé.
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