Jamais sans mon grille-pain
Des circonstances de vie font que je vais me retrouver à redescendre à Marseille armé d’un nouveau grille-pain.
Je m’imagine déjà dans la rame de TGV, à faire griller des tartines. Trois kilos de tomates, deux têtes d’ail et un peu d’huile d’olive et j’organise un stand de vente de bruschetta.
Si vous entendez parler d’un train Paris-Marseille en rade demain soir, vous saurez qui blâmer.
Mais quitte à être coincé dans un train, plutôt l’être avec l’odeur de pain grillé que celle des œufs durs, non ?
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