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La vie, c’est d’abord des rencontres

Pour faire société, il faut apprendre à aimer ses contemporains. À défaut, au moins essayer de les tolérer.

Et oui, je pense aussi à ceux qui :

  • Se rendent dans un salon de thé pour commander un café à emporter ;
  • Souhaitent bien faire en répétant continuellement chuuuut à leurs enfants sans se rendre compte que cette manie est bien plus bruyante que les doux babils enfantins ;
  • Courent sur place au feu rouge pour ne pas faire chuter leur moyenne ;
  • Te demandent si tu es allé chez le coiffeur alors que manifestement, tu as perdu un bon kilo de cheveux depuis samedi soir ;
  • Décident d’intituler leur crèche : « Le jardin du gamin – Parce que tout se joue avant six ans » ;
  • Ne laissent pas leur nom sur leur messagerie de téléphone
  • Te laissent des notes vocales à rallonge, ponctuées de humm, euh, qu'est-ce que je te disais, etc.