Le pouvoir de nuisance

Toujours entretenir de bons rapports de voisinage.

C’est la leçon à tirer de l’affaire qui oppose cet entrepreneur marseillais à sa voisine. Cela fait maintenant deux ans qu’il collectionne les contraventions avec des montants allant de 35 à 135€. Les motifs ? Stationnement gênant, emplacement réservé, stationnement de plus de sept jours, etc. C’est sûr que dans une ville comme Marseille dans laquelle le stationnement est anarchique, recevoir des PVs doit faire tout drôle.

Sauf que lui maintient qu’il était dans son bon droit et qu’il se garait constamment sur des places autorisées. Le point commun entre toutes ces contraventions ? Le même numéro de matricule de l’agent verbalisateur.

Après avoir saisi l’IGPN, l’entrepreneur s’est rendu compte que l’agent en question était sa voisine, policière de son état. Son statut lui étant monté à la tête, elle s’est mise à jouer au cowboy et à verbaliser tout le quartier très tôt le matin, ou très tard le soir.

Toujours selon l’entrepreneur, elle fait cela sans raison. Il ne lui aurait jamais adressé la parole et ne connaissait pas son existence avant de contacter l’IGPN.

N’y voyez aucune corrélation, mais ce soir, je lance une tournée de cookies et je vais aller en proposer à mon voisinage.