Pas le cul Didier !

La rencontre de Michel, le golden retriever d’un ami, m’a donné envie de dresser une liste des bonnes raisons de donner à son animal de compagnie un prénom humain :

  • Se délecter des réactions de ses interlocuteurs : « Daniel est cœliaque, je ne lui donne que des croquettes sans gluten. »
  • L’utiliser comme une excuse pour s’éclipser d’un rendez-vous barbant : « Je dois y aller, je ne peux pas laisser Cathy seule trop longtemps. »
  • Le simple plaisir d’énoncer des phrases absurdes : « C’est la troisième fois que Jean-Philippe fait pipi sur le tapis cette semaine. Je ne vais tout de même pas lui mettre des couches. »